Belle soirée hier au Vingtième Théâtre. Je me suis surpris à reconnaitre tes chansons dés les premières notes et a fredonner les paroles. c'est sûrement cela le signe des bonnes chansons, elles restent gravées prêtes à ressurgir le moment venu avec des mélodies et des textes qui laissent leurs empreintes. Ce fut un grand plaisir de te retrouver en compagnie d'Anne, Francesca, Coline et Balmino ! Merci ! Francis Panigada

Le spectacle d'hier soir était très beau. Nous nous sommes avancés sur la pointe des pieds puis nous sommes entrés dans ton univers et nous y avons vécu avec bonheur. Les mots nous ont parlé, ont chanté à nos oreilles, nous nous sommes retrouvés, là...
Subtile ta façon d'annoncer la programmation de cet été, choix fin, la palette d'artistes riche et colorée, et cerise sur le gâteau, les couleurs de leur tenue de scène, bleu gris, bleu foncé et noir, se mariaient avec les tiennes. Ces couleurs de nuit, éclairées par le feu des cheveux d'Anne et l'or de ceux de Francescaet la tenue de Line, composaient sur scène un tableau qui rejoignait les textes et musiques de ton spectacle : douceurs et violences, harmonies et ruptures, fragilité et rudesse, émotion et plaisir.
Bravo Jofroi, merci. Monique Haillant

Ne te découvre pas du fil... Le fil est le même, des contes musicaux pour les enfants aux chansons à textes pour les adultes, un fil permet de voyager d’un âge à l’autre, d’un souffle à l’émotion, toujours dans la même vérité, celle qui cultive en l’homme la semence de l’humain.
Jofroi est un poète de l’existence. Avec sa voix profonde et chaude,  les mots s’élancent comme des oiseaux libres vers le ciel et nous enracinent dans l’essentiel.
Complices, paroles et piano se répondent. Leur connivence crée un partage qui résonne dans les cœurs. Nous voilà alors embarqués pour des retrouvailles nécessaires avec le sens des choses où chaque être peut retrouver le lien, avec soi, avec les autres. Il ya un fil à ne jamais quitter, ni en avril ni tous les autres mois de la vie…
La poésie de Jofroi promenée par celle du piano de Line Adam est une invitation chaleureuse à aimer, une main tendue pour tisser à l’infini « le fil rouge ».
Le 17 avril 2010, Aurore Jesset 

les photos sont de Pierre Olcese
http://www.flickr.com/photos/pierreolcese/sets/72157623845573738/